Maison des ambassades de l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem à Rhodes

Le grand commandeur, second du grand maître, de la nation de Provence, reçoit dans un esprit de fraternité et de piété tous les frères chrétiens. Les chevaliers de justice agissent pour aider dans la détresse et les seconder dans leurs épreuves et combats les fidèles du Christ.




Traité de non - agression :

Le Roi Très Chrétien, souverain du royaume de France (1500).



Alliance défensive:
Ecosse : Alliance défensive valable en cas d'agression de l'un des pays par des peuples non chrétiens, hérétiques ou excommuniés.



Alliance totale :



Association militaire :

Siphnos et Naxos.

Ecosse : recrutement et entretien permanent de 150 soldats.

Une missive arriva par pigeon express navire au grand commandeur;

Le royaume de France souhaiterait conclure avec votre ordre un traité de non-agression, votre combat pour défendre la chrétienté à toujours été suivit par notre roi avec la plus haute admiration.

En acceptant ce traité nous souhaiterions soutenir votre ordre en mettant à votre disposition la sommes de 1500 francs.

Noble roi de France,


le Grand Maître et cardinal Pierre d'Aubusson, né de lignage noble de France, remercie le Roi Très Chrétien de son offre et de son don. Il accepte au nom des chevaliers le traité de non agression. En ce jour d'alliance, au sein de la chapelle où sont célébrés les offices le nom du Roi Très Chrétien sera particulièrement honoré.

Pour son initiative, le Roi Très Chrétien de France gagne cinq points de piété et reçoit le message suivant du Pape :

Pape Alexandre VI a écrit:

Très Chrétien Roi de France,

Nous sommes heureux de constater que la fille aînée de l'Eglise reste dans le chemin de la Lumière et de Dieu. Nous vous félicitons pour votre très généreuse donation à l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem et l'encourageons à toujours poursuivre dans la voie Sainte.

Que Dieu vous garde toujours dans ses faveurs,
Sa Sainteté, le Pape Alexandre VI.

Le royaume de France entier sera heureux d'apprendre la nouvelle, nous allons de ce pas organiser une messe à la gloire de notre seigneur qui en ce jour glorieux à rendu cet accord possible.

Le Royaume d'Ecosse propose une alliance défensive a l'Ordre de plus nous offrons 150 soldats a l'ordre hospitalier, le Royaume d'Ecosse en payera le recrutement et l'entretien

Le Royaume de Portugal trouve ces attitudes bien peu honorables d'exiger des traités en échange de paiement ! Croyez vous que vous pouvez achetez des représentants de dieu ainsi ?

Nous sommes profondément dégoûté de l'attitude de nos semblables.

Nous préciserons au Portugal que le verbe proposer n'est pas exiger, de plus même en cas de refus de l'Ordre Hospitaliers les soldats lui seront fournis

Si le royaume du Portugal à quelque chose à dire sur la politique étrangère du royaume de France il est prié de le faire dans l'ambassade française.

Le royaume de France se demande tout de même ce qui lui est reproché, au vu d'une clause qui est utilisé couramment par les diplomates ( de cette époque) ...

Et de quoi avez vous peur ? Que l'ordre des hospitaliers montent une immense armada pour vous envahir ? Ou qu'ils défendent d'éventuelles places papales en Romagne sur lesquelles l'ogre français a des vues ?

Le Roi d'Ecosse n'enverrait alors pas ses troupes il se contente d'aider les soldats du Christ le très Catholique portugal devrait le comprendre

Modérez votre langage, monsieur, nous sommes venu ici pacifiquement nous ne tolérerons pas votre manque de respect envers la diplomatie bien longtemps.

Envoyez un ambassadeur parler de la politique française à Paris, quoiqu'il en soit nous ne répondrons plus à vos provocations en ce lieu.

Mais sachez qu'en agissant de la sorte vous vous mettez à dos de précieux soutiens.

L'ambassadeur de France sur l'île de Rhodes sortit de la commanderie, après avoir salué le grand commandeur et les autres diplomates présents. Il alla profiter de son séjour sur l'île en allant se promener sur le marché de Rhodes.

Nous demandons au Portugal de s'excuser pour ces calomnies sans quoi l'Ambassadeur Ecossais se verra dans l'obligation de defier en combat singulier l'Ambassadeur Portuguais

Quelles calomnies à votre encontre ?

Le fait d'accuser le Royaume d'Ecosse d'actions intéressées pour son propre bien et non celui de la Chrétienté

Nous avons juste exprimé le fait que c'était bien peu honorable d'exiger une alliance défensive de la part d'un ordre de moines guerriers qui n'aurait aucuns intérêts à venir vers la guerre en Brittanie. Nous refusons de verser du sang sur une terre pontificale.

La voix de stentor du grand commandeur, habitué à diriger des armées, retentit dans la vaste salle de réception.

"PAIX EN CES LIEUX SACRES".

Avec un geste aimable mais ferme il invita les regards à se tourner vers les crucifix ornant les murs.

"Les combats que nous avons à mener est contre le diable, non entre frères chrétiens !".

Il demanda à un serviteur de rejoindre l'ambassadeur du roi de France pour l'honorer de ses services, soit pour revenir dans la forteresse, soit pour le guider à travers la cité ensoleillée jusqu'aux différents endroits de culte ou de curiosité.


D'un autre geste, il confirma à un frère oblat d'apporter le vin clair, le pain et le sel : la nourriture de l'hospitalité.

"Vaillants chrétiens, je tiens à partager avec vous les mets de l'amitié. Mais aussi à rappeler à tous la position des chevaliers hospitaliers dans les conflits opposant hélas les enfants de l'Eglise : nous assurons la défense de la chrétienté, sentinelle posée au devant des menaces maritimes et terrestres innombrables, nous ne voulons pas nous détourner de cette défense. Les chevaliers refusent de sortir de leur neutralité en cas de guerre entre chrétiens, sauf sur demande de notre Pontife, le Vicaire du Christ."

Le grand commandeur fit une pause, regardant tour à tour chaque ambassadeur.

"Une alliance défensive est possible, mais elle ne s'exercera que contre les païens et les infidèles, les hérétiques et les excommuniés par le Très saint Père. Alors nous prêterons notre vaillance et verserons notre sang pour défendre les chrétiens. "

Une nouvelle pause, puis il reprit.

"Neutres, nous pouvons exercer si vous le désirez une médiation dans les conflits entre chrétiens. C'est là aussi une mission de paix."

"Nous veillons, prêts au combat. Toute aide militaire ou autre sera la bienvenue et est acceptée par avance."

Le grand commandeur montra les armures des chefs militaires exposées, nombre d'entre eux étaient morts au combat au précédent siège, datant d'à peine 20 ans. "Les 150 soldats Écossais peuvent rejoindre nos effectifs, ils seront reçus comme des frères."

"Sachez que l'Ordre accueille tous les peuples chrétiens dans ses rangs. Chaque chevalier peut rejoindre l'une des sept nations, c'est-à-dire l'un des groupes associant les chevaliers en fonction de leur langue et de leur patrie. Nul n'est diminué ou élevé en raison de son origine car nous avons reconnu une patrie céleste, recouvrant toutes les patries terrestres."

Le grand commandeur joignit ses mains couturées de nombreuses cicatrices. Moine guerrier, il inspirait tour à tour le calme et l'exaltation.

Je vous invite à prier avec moi pour notre mère l'Eglise.

Traité d'alliance et d'association militaire entre Rhodes, Siphnos et Naxos (1500)


Les Etats de Rhodes, Siphnos et Naxos décident d'une alliance et d'une association militaire commune. Son siège est à Rhodes.

Nous félicitons Rhodes pour avoir consolidé sa position dans la Mer Egée au profit de la chretienté.

PELERINAGE DU GRAND MAITRE A ROME EN L'ANNEE SAINTE 1500

Le Grand-Maître de l'Ordre des Hospitaliers, le cardinal et légat du pape en Asie Pierre d'Aubusson, se rend en pélerinage à Rome en l'année sainte 1500.

Sont invités à le rejoindre les nobles et roturiers désireux de rejoindre l'Ordre des Hospitaliers ou simplement de l'accompagner dans ce voyage de dévotion.

Le Grand-Maître se rendra en France à l'abbaye de Lérins, rendra ses dévotions à Marseille, poursuivra son périple en passant par Gènes et Florence, puis à Rome. Il accomplira le chemin menant des portes de la Ville jusqu'au palais du pape pieds nus, dépouillé de tout signe de vaine gloire sur cette terre.

Le Grand maître rentrera ensuite sur l'île sentinelle de la chrétienté, accompagné par ceux qui voudront rejoindre l'Ordre des combattants du Christ.

Le Roy d'Ecosse souhaite accompagner le Grand Maître dans son Pélerinage afin que le très Saint lui pardonne ses péchés

Le Grand maître sera honoré de prier en commun avec le roi d'Ecosse, dont la piété l'honore.

MISSIONS DE SECOURS


Les circonstances malheureuses en Italie apportent le fléau de la guerre et ces dévastations pour les humbles enfants de Dieu. Si les belligerants l'acceptent, nos Hospitaliers offriront dans la mesure de leurs moyens les réconforts spirituels et matériels aux chrétiens, sans disctinction de camps.

Le Portugal, fier de sa neutralité défend l'intégralité de cette mission et si l'ordre a besoin de matériels, pourvoira à ses besoins.

Nous remercions et acceptons l'aide du Portugal pour transformer plusieurs de nos commanderies en hopitaux capables de recevoir des blessés et des nécessiteux dans le Milanais.Sous réserve de l'accord des belligérants abien sur.