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 Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?]

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Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?] Empty
MessageSujet: Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?]   Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?] Icon_minitimeJeu 10 Juil - 13:16

Troisième Guerre d'Italie

Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?] Battle_of_Pavia%2C_oil_on_panel

Milanais

Après la révolte du Milanais contre le Royaume de France et la déclaration de guerre de Ludovic Sforza et de l'Autriche, les armées de Louis XII se rassemblent et marchent sur Milan pour reprendre la région au plus vite. Le condottiere Trivulce, qui dirige l'armée d'Italie, tente d'annihiler les révoltes paysannes en les séparant. Tous les Nobles de la région encore loyaux à Sforza sont fait prisonniers et envoyés à Marseille où ils sont retenus dans une prison dorée.
De l'autre côté, les mercenaires du Duc de Milan et l'armée Autrichienne, soutenue par l'armée Suisse, progresse en direction de Milan également en voulant prendre l'armée Française en tenaille. Trivulce, ne se rendant pas compte de la menace, poursuis sa route et met le siège devant Milan à la fin du mois d'Août ; un peu plus d'une semaine plus tard, les armées adverses arrivent elles aussi et la bataille s'engage.

Bataille de Milan

Les forces Suisses, Autrichiennes et Milanaises prennent les forces Françaises sur deux fronts pendant que les paysans enfermés dans Milan tentent une sortie. Une partie des cavaliers français, immédiatement, charge les émeutiers pour les ralentir le plus possible.
Le canon Autrichien et les fusiliers Autrichiens et Suisses sont leur pièce maîtresse au cours de cette bataille, mais le manque flagrant de cavalerie (à peine cinq cent chevaux pour plus de cinq mille soldats d'infanterie) est leur grand défaut. Immédiatement, les fusiliers font feu et abattent plusieurs soldats de Trivulce. Les forces françaises concentrent leurs efforts sur la pièce d'artillerie et les fusiliers Autrichiens. Une courageuse charge d'infanterie sert de diversion pendant que les cavaliers contournent par les flancs pour s'attaquer directement au canon ; c'était sans compter sur les piquiers Suisses, engagés comme mercenaires par Sforza, appuyés par la cavalerie Autrichienne, qui mettent en déroute cette audacieuse tentative. Durant ce temps, la bataille entre les deux infanteries tournent à l'avantage des français, qui font reculer les Autrichiens.
Après cela, la cavalerie française s'en va harceler les forces Suisses, dépourvue de tous chevaux et trop lents pour se défendre. Malgré cela, l'armée de Louis XII finit par se voir forcée de combattre sur les deux fronts en même temps et doit se séparée en deux. Les fusils tirent, les lances se plantent dans de multiples corps et les épées s'entrechoquent. Les paysans Milanais, trop désorganisés, sont les premières victimes des combats.

Lorsque la bataille s'achève, les français se retirent et vont établirent leur défense dans l'ouest du Milanais, mais laissent sur le terrain de nombreux cadavres adverses. Si Sforza avait prévu de reconquérir rapidement le Duché, il devra revoir ses plans...

Bourgogne

Quelques escarmouches sont à notées sur ce front-ci. L'omniprésence de la cavalerie françaises permet de nombreux raids, mais là encore, les fusiliers Autrichiens et un canon font beaucoup de mal aux armées de Louis XII. Aucune armée ne parvient à emporter l'avantage en Bourgogne.

Flandres

Dans les Flandres, enfin, les armées d'Autriche et de Lièges franchissent la frontière et saccagent les territoires français, sans néanmoins aller trop loin en avant, de peur de se retrouver piégés en territoire étranger. Aucune activité française n'est dénotée ce trimestre dans la région.

SERG

En sus de tous ces événements, on annonce que les armées du Saint-Empire Romain Germanique se lèvent un peu partout mais, par manque d'organisation et de coordination entre les Etats, les troupes vont mettre du temps à se rejoindre et à aller jusqu'au front...

Pertes :


France :

  • Armée d'Italie : 1.650 soldats d'infanterie, 690 cavaliers
  • Armée du Nord : 400 soldats d'infanterie, 180 cavaliers


Autriche :

  • Armée d'Italie : 650 soldats d'infanterie, 230 cavaliers, 50 fusiliers
  • Armée du Nord : 360 soldats d'infanterie, 240 cavaliers, 24 fusiliers
  • Armée de Flandres : 80 soldats d'infanterie, 15 cavaliers, 10 fusiliers


Suisse :

  • Armée d'Italie : 200 fantassins, 120 fusiliers


Lorraine :

  • Armée du Nord : 60 fantassins, 12 cavaliers


Lièges :

  • Armée de Flandres : 25 fantassins


Milan :

  • Paysans révoltés : 1.245 paysans
  • Ludovic Sforza : 45 mercenaires Suisses
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MessageSujet: Re: Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?]   Troisième Guerre d'Italie [Eté 1500 - ?] Icon_minitimeDim 13 Juil - 17:27

Milanais

Durant la première semaine d'octobre, une astuce de Louis XII fait croire au Duc de Milan et à l'Empereur qu'il est prêt à négocier et des discussions s'engagent ; mais après quelques jours, il devient clair que les Français ne voulait que gagner du temps pour permettre à cinq pièces d'artillerie d'arriver dans le Milanais. Dès cet instant, Trivulce fait mettre en marche l'armée pour l'emmener affronter les Germaniques dans une grande bataille et, cette fois, remporter une victoire. Mais les armées coalisées ont reçu des renforts Salzbourgeois, Bavarois et Goriziens et des soldats Bohémiens sont en route vers les combats et, jouant sur leur supériorité numérique, ils évitent tout grand combat et ne mènent que des escarmouches. Aucun vainqueur ne se démarque clairement mais le Saint-Empire prend peu à peu l'avantage.

Bourgogne et Franche-Comté

Là aussi, les français reçoivent de l'artillerie. Avec, ils partent à l'assaut de Besançon et, en parallèle, négocie avec la Lorraine sont retrait de la guerre, mais c'était sans compter sur l'arrivée de renforts de la part de tous les petits Etats du Saint-Empire. L'Armée du Nord profite durant le premier mois de la désorganisation des armées adverses pour vaincre plusieurs régiments séparés mais, après quelques temps, les armées Germaniques se rejoignent et s'organisent un peu plus, forçant les Français à quitter le territoire Germanique.

Flandres

Dans les Flandres, les Autrichiens reçoivent des renforts de Frise, de Saxe, de Cologne et d'Angleterre. Les forces Françaises, prisent en étau, sont littéralement massacrées et n'ont aucune option de fuite. En sacrifiant quelques centaines de fantassins, les soldats de Louis XII parviennent à sauver quatre pièces d'artillerie sur cinq et une grande partie de l'armée, mais les Flandres ne tarderont pas à subir de violents assauts adverses...

Normandie

En Normandie la flotte Anglaise, séparée en deux, apparaît sur les côtes de Cherbourg et de Caen. Les navires bombardent les ports, non-préparés à cette attaque surprise, et débarquent des centaines de soldats qui prennent d'assaut les villes. Des milices levées dans l'urgence défendent les deux villes comme elles le peuvent, mais les tirs des canons et les fusiliers Anglais les empêchent d'être véritablement efficaces.

Naples

Dans le Royaume de Naples, le Roi récemment revenu après avoir signer un traité avec Louis XII prend les armes contre celui-ci, soutenu par sa Noblesse et par les Rois Catholiques, qui envoient huit milles soldats soutenir les forces locales. Aucune armée française n'étant basée à Naples, le pays tombe très rapidement.

Pyrénées

Dans le sud de la France, ce sont plus de sept milles Espagnols qui surgissent sans déclaration de guerre. Le Royaume de Navarre, inquiet par ce déploiement de force, ne réagit pas et reste neutre. Pendant que les armées des Rois Catholiques envahissent peu à peu tout le sud sans rencontrer de résistance adverse, leur flotte bombardent les ports de la côte Atlantique et détruisent peu à peu tout le potentiel commercial du Royaume de France...

Pertes :

France :
  • Armée d'Italie : 210 fantassins, 87 cavaliers
  • Armée du Nord : 120 fantassins, 83 cavaliers
  • Armée de Flandres : 672 fantassins, 320 cavaliers, 1 canon
  • Milices de Normandie : 200 milices urbaines


Autriche :
  • Armée d'Italie : 100 fantassins, 30 cavaliers, 10 fusiliers
  • Armée du Nord : 194 fantassins, 67 cavaliers, 25 fusiliers
  • Armée de Flandres : 91 fantassins, 56 cavaliers, 13 fusiliers


Suisse :
  • Armée d'Italie : 78 fantassins, 30 fusiliers


Milan :
  • Paysans révoltés : 450 paysans
  • Ludovic Sforza : 17 mercenaires Suisses


Lorraine :
  • Armée du Nord : 34 fantassins, 8 cavaliers


Lièges :
  • Armée de Flandres : 7 fantassins


Salzbourg :
  • Armée d'Italie : 20 fantassins, 4 cavaliers


Haute-Bavière :
  • Armée d'Italie : 12 fantassins, 12 fusiliers


Basse-Bavière :
  • Armée d'Italie : 7 fantassins, 13 cavaliers


Gorizia :
  • Armée d'Italie : 6 fantassins


Petits Etats :
  • Toutes armées confondues : 78 fantassins, 30 cavaliers, 20 fusiliers


Frise :
  • Armée de Flandres : 31 fantassins, 12 cavaliers


Saxe :
  • Armée de Flandres : 45 fantassins, 9 cavaliers, 11 fusiliers


Angleterre :
  • Armée de Flandres : 45 fantassins, 10 cavaliers
  • Armée de Normandie : 20 fantassins, 5 fusiliers


Espagne :
  • Armée d'Italie : Aucune perte
  • Armée de France : 20 fantassins, 10 cavaliers


Toutes les côtes françaises (la Manche, la façade Atlantique et la méditerranée) sont placées sous blocus Espagnol, Italien et Anglais. Tout le commerce français est paralysé et aucun pays ne peut plus commercer avec la France. Diminution de la puissance commerciale française de 0,15. La France connaît un état de disette généralisé et perd 1% de sa population à cause des combats et de la faim (continuera de perdre 1% de population à chaque trimestre d'occupation).
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